•  


    Nos peurs . Démeusure . Théatre . Ainsi . Attendre . Emmenne moi . Jusqu'à se retrouver . Les visions . Sublimer . Sourire . L'infime détail . Un monde . Les matins vieillissants . Complexe . Vernis à ongle . Toi et moi . Le brave gars . Insomnie . Desir . Pardon . Adorer... . Le bachot . Tourner de la tête . Esperer ne plus y croire . Oubli . Jamais . Inconscience . Violente pluie . Etreinte maladroite . Grand homme . Bidule, truc , chouette . Crissement . Un vieux vinyl moisi . Hier avant demain . Au loin . Ecrivez ! . Accepez ... . Decibles . Un peu . Chair fraiche . Putréfaction . Moite . Invivable . Rethorique du moi . Taire les choses . Une exposition . Eblouir et hanter . L'humanité . Acte . Idéal . Association d'idées ...


    votre commentaire
  • Le merveilleux n'existe que dans nos têtes : Ces fouttues boites craniène au cortex deglingué .
    Rêver tue ? A défaut d'une mort physique c'est l'action , le concret et la chose qui disparaissent. Mais sans cette capacité à s'evader , la vie serait amère et insurmontable . J'ai l'intime conviction que de tous les côtés on se fout royalement de notre gueule.
    Tout n'est qu'echantillon , petite portion .
    Certain appelleront ça de l'insatisfaction purement adolescente .
    Pueril d'esperer l'inesperable ?


    votre commentaire
  • Il parrait qu'hier avait un goût d'aujourd'hui ,
    Nos rimes faciles entremmelées de silences
    Il parrait qu'avant c'était après ,
    Rien n'a plus grand importance ,
    que tous ces petits matins aux cordes cassées ,
    aux doigts engourdis et aux cranes morcelés de fausses promesses ,
    celles de l'avant veille , cette nuit , ailleurs , dans la tièdeur de nos premiers baisers.
    Sur les ports , rougir d'ivressse , s'ouvrir le goulot , oser le cri , valser par la crise et crever d'amertume .
    Tous ces départs qu'on ne sait pas empecher , tous ces gens qu'on ne sait pas aimer .
    Ce chagrin qu'on étrangle au fond de la gorge , le coeur au bord des lêvres eventrées.
    S'en remettre à la tartine de pain beurré , qui nous jure fidelité .
    Il est de même pour l'oreiller , le creux douillet de l'absence , celle qui se fait sourde et douloureuse.
    Alors on vit pour oublier qu'on meurt .
    On se crée des ressemblances avec le temps .
    Une sortie .
    Un exit .
    Un happy end à l'américain dont personne ne revient jamais .
    Prendre son heure , son quart d'heure , sa demi heure .


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Papillons dans le bas ventre , esquisse de " l'heure exquise " .
    Souffler sur nos chimères , echo de nos misères enfantines .
    Janis qui crache ses morceaux de poumons sous ces cris hysteriques .
    L'automne , l'hiver . Briser la cadence du temps qui s'en mord les ailes .
    Precipice de velour sous nos pas egarés , chercher l'issu du départ , le début du début et la fin ,
    cette illuminée aux poches trouées .


    1 commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique